Classe de CE1/CE2 de l’école Pen ar Streat à Brest
Nous avons inventé une application révolutionnaire qui permettrait de détecter les déchets plastiques en déclenchant un signal sonore à leur approche. Dans le cadre du tournage de notre vidéo, nous avons fait une sensibilisation à la pollution plastique sur les plages près de chez nous. Il est important de ramasser les déchets et de les mettre dans la bonne poubelle pour qu’ils soient recyclés afin d’éviter qu’ils ne se retrouvent dans les océans.
Nous avons voulu inventer des bandes dessinées pour sensibiliser à la pollution plastique des océans. Avec tout ce que nous avons appris, en suivant la Course Bleue mais aussi lors d’une sortie sur l’estuaire de la Gironde et grâce à une journée sur le thème de l’eau dans notre école, nous savons qu’un déchet jeté au sol, notamment près d’une rivière, finira forcément dans l’océan et polluera cet écosystème essentiel à notre planète.
Classe de CE1/CE2 du Lycée Français de Zurich à Dübendorf, Suisse
Nous allons vous présenter notre innovation. Elle s’appelle la Zukunft Green Floating Factory : Zukunft c’est le nom de la rue de notre école. Et ça signifie « avenir » en allemand. Il s’agit d’une usine flottante qui permet de récupérer les plastiques dans les océans en surface
et en profondeur et les transformer directement sur place en billes de plastique qui seront ensuite acheminées sur le continent pour fabriquer vêtements, bouteilles, etc.
Voici notre BD ! Après avoir appris tant de choses sur les océans et les dégats que pouvaient faire les déchets plastiques, nous avons voulu montrer quelles pouvaient être les conséquences de cette pollution pour les animaux marins.
Nous avons un projet sur l’environnement. Nous avons travaillé toute l’année sur les déchets et sur les animaux marins. Nous avons donc décidé de vous présenter une oeuvre en 3D des animaux marins fabriqués avec des déchets. Voici une présentation en pièce jointe de notre oeuvre qui n’est pas encore finie. Les élèves par deux ont dessiné des animaux marins, les ont peint puis ont collés des déchets dessus.
Poséidon, dieu des mers et des océans, est en colère contre les hommes ! Son océan est pollué de tonnes de déchets plastiques et de micro-plastiques. Dans son ventre-poubelle, Poséidon essaie d’avaler les déchets pour nettoyer les eaux et sauver ses créatures de la pollution plastique mais cela le rend malade.
Classe de CE2 de l’école élémentaire Saint-Martin de Gioue, à Mougins
Présentation de notre danse à toute l’école suivie d’une discussion, d’un débat autour de sa signification afin de mettre en avant différents sujets : le monde marin, la liberté, la joie, la pollution plastique, les gyres, le septième continent, la colère et le rôle de l’Homme sur l’environnement…
Les moments d’échange et de partage ont été très riches, ils ont aussi permis de mettre en avant les différentes interprétations possibles, le symbolisme : « Notre créature est-elle ? Un monstre plastique, une créature en souffrance ou les deux ? » A chacun de choisir !
Cette créature, cette chimère faite de plastique, représente, pour nous, une raie, un poulpe, un calamar, une seiche, une méduse. Un monstre qui prend l’apparence d’animaux marins.
Classe de CE2 de l’école élémentaire Saint-Martin de Gioue, à Mougins
Présentation d’un diaporama, à toute l’école, qui lance un appel à la réflexion, à l’engagement écologique individuel, volontaire et collectif, où chaque partenaire de la communauté éducative (toutes les classes, les enseignants, l’équipe d’animation, l’association des parents d’élèves) peut s’investir, proposer ses idées pour agir et essayer de lutter contre la pollution.
Classe de CE1/CE2 de l’école élémentaire Marcel Philippe, à CREIL
Les élèves ont réfléchi à deux solutions permettant de réduire le nombre de déchets se retrouvant dans les fleuves et rivières:
– action de sensibilisation auprès des citoyens : obligation de réaliser un service d’intérêt général au sein d’un quartier pour les personnes laissant leurs déchets par terre
– Invention de Robotia, un robot aspirateur fonctionnant de manière autonome en ramassant et triant les déchets dans la rue.
Les élèves ont collecté pendant deux périodes scolaires leurs emballages de goûter. Ils ont pris conscience de la quantité de déchets que cela représente.
Après une information sur le danger des déchets plastiques pour les océans, les enfants ont fait le lien avec leurs emballages.
Une réflexion a été menée pour tendre vers le goûter zéro déchet. Puis les emballages plastiques ont été découpés, triés par couleur et utilisés pour créer une mosaïque de plastiques artistique pour que jamais ces déchets collectés ne deviennent des déchets océaniques.
Classe de CP de l’EEPU Marie Curie, à Mantes la jolie
Nous avons travaillé sur les plastiques à usage unique et leur dangerosité sur l’environnement. Les enfants se sont très rapidement rendus compte qu’ils en utilisaient aux quotidiens lors de leur goûter, des piques niques et se sont demandés pourquoi il y en avait autant. Ils ont cherché si des solutions alternatives existaient. Nous avons cherché, chacun de notre côté ce que nous pouvions trouver. Certains ce sont tournés vers le vrac (car une boutique a ouvert ses portes à côté de l’école). D’autres en allant faire les courses avec leurs parents ont vu ces nouveaux emballages pour les fruits et légumes en cellulose de bois que les supermarchés proposaient. Ils ont trouvé la solution pratique et innovante car il y avait une fenêtre transparente permettant de voir au travers le produit emballé. Une question en est sortie: pourquoi les industriels de l’agro alimentaire n’utilisent pas ce système pour emballer leurs produits?
Les enfants ont souhaité également commencer la vidéo en faisant une sensibilisation au fait de jeter les emballages dans la poubelle. Vivant dans un environnement ultra urbain et n’ayant pas un accès privilégié à un environnement plus rural ou maritime pour beaucoup d’entre eux, il leur semblait urgent de faire comprendre à leur camarade l’intérêt de jeter leurs déchets dans la poubelle. Ils veulent faire une nouvelle vidéo pour pousser au tri des déchets qui n’est pas encore entré dans leurs habitudes familiales, vidéo qui passera dans les classes de l’école lors de la semaine de la citoyenneté.
Classe de CE2/CM1 de l’école Le Clos Perrine, à Mannevillette
Après de longues semaines de recherche et de nombreuses idées nous avons décidé de réaliser une maquette mettant en scène un barrage installé à la sortie d’un fleuve.
Nous avons compris que les déchets arrivant dans les fleuves à cause des pluies ou encore du vent finissent dans l’océan. C’est pourquoi il est important de bloquer tous ces déchets à la sortie des fleuves. Notre barrage coulisse sur la rive pour laisser passer les bateaux et être vidé.
Enfin, il faudrait que tous les déchets collectés soient recyclés lorsque cela est possible.
Classe de CM1/CM2 de Saint Louis, à Bois Grenier
Avec la Course Bleue, nous avons découvert que les déchets jetés dans notre village pouvaient arriver dans l’océan à cause des vents et des courants marins. Nous avons eu l’impression qu’à moins d’éliminer entièrement les plastiques, il était donc impossible d’éviter qu’ils arrivent dans l’océan. Pour les éliminer, nous avons pensé qu’il fallait pouvoir réutiliser immédiatement les plastiques pour réduire les risques de pollution. En parallèle, en géographie, nous avons étudié la production et l’utilisation responsable de l’énergie. Nous avons appris que l’énergie thermique pouvait permettre de produire de l’électricité. Nous avons donc pensé qu’il serait intéressant d’utiliser l’énergie thermique résultant du recyclage pour produire de l’électricité. Les déchets plastiques pourraient alors être transformés en contenants plastiques réutilisables pour éviter d’avoir à nouveau des plastiques polluants. Des bornes installées proches de magasins de vrac permettraient alors de recharger des véhicules électriques. Le problème qui s’est posé est de savoir comment feraient les personnes qui n’ont pas de déchets à jeter, de contenants à récupérer ou de véhicule à recharger. Nous avons alors pensé à l’éco-solidarité : une personne qui n’a pas de déchet pourrait utiliser l’électricité produite par une autre personne qui n’en a pas eu besoin par exemple. Nous avons pensé que le fait de ne pas passer par des grandes centrales électriques ou des grands centres de recyclage permet de réduire les risques de pollution et d’encourager la solidarité avec les gens de notre entourage. Pour vous présenter notre idée, nous avons réalisé une vidéo montrant plusieurs scènes de ce monde tout droit sorti de notre imagination. Nous espérons que vous aimerez notre idée autant que nous avons aimé travailler sur la Course Bleue cette année.
Classe de CE2-CM1-CM2 de l’école Stanislas Poumet, à LE PALAIS – BELLE ILE EN MER
Après plusieurs brainstorming des élèves de la classe, où tout à chacun a pu proposer ses idées les plus exubérantes, nous nous sommes mis d’accord pour une opération de sensibilisation au plastique qui nous entoure : une journée de ” grève du plastique”, puisque les grèves sont dans l’air du temps.
Aussi, avons-nous choisi de tester notre proposition, comme une démarche expérimentale, pour en tester ses avantages et ses limites. Nous avons d’emblée limité cette grève à l’univers de l’école, car certains élèves se déplacent en vélo avec des casques comportant du plastique. Cette journée de grève étendue à un niveau national (voire mondial), dans un moment précis de la journée (domicile, travail, école, transport) tend à une prise de conscience collective et citoyenne de l’invasion du plastique dans nos vie, et par là même, à envisager des solutions au quotidien pour le réduire ou le recycler. Notre classe a, dans la foulée, participé au ramassage des déchets dans le village. Voilà…démarche humble à notre niveau, mais que nous trouvons assez percutante.
Nous sommes en 6e2 au collège Penn Ar C’hleuz à Brest. Pour limiter la pollution plastique générée par notre collège, nous avons eu l’idée de réaliser une affiche (figure 1) afin de sensibiliser nos camarades aux conséquences que pourraient avoir les déchets qu’ils jettent dans la cour. Sur cette affiche, on retrouve cinq trajets que pourraient prendre les déchets plastiques de la cour du collège : d’une part des bouchons de stylos et un sachet de bonbons qui seraient emportés par le vent et d’autre part des bâtons de sucette, des bouchons de bouteille et autres déchets plastiques qui tomberaient dans les égouts et seraient conduit jusqu’à l’océan.
Cette affiche sera installée au CDI et nous nous rendrons le 8 juin prochain à Océanopolis à l’événement « Jeunes Reporters des Arts, des Sciences et de l’Environnement » pour la présenter. Nous avons choisi de réaliser des chorégraphies. Nous avons rédigé des textes décrivant chaque trajet suivi par les déchets et nous nous sommes rendus au lycée la Pérouse Kerichen pour demander aux élèves en spécialité danse de nous aider à mettre nos textes en mouvement.
Voir la vidéo
Nous sommes en 6e3 au collège Penn Ar C’hleuz à Brest. Pour limiter la pollution plastique au sein de notre collège, nous avons eu l’idée d’installer des filets sur les bouches d’égout de la cour. Au mois de décembre, nous avons été sélectionnés par Océanopolis pour participer au « School Plastic Hackathon » afin de concrétiser notre projet. Pendant deux jours, nous avons été encadrés par des professionnels. Nous avons imaginé et réalisé une maquette de bouche d’égout munie d’un système de rétention des déchets (figure 1). Cette maquette a ensuite été améliorée au collège avec l’aide de notre professeur de technologie. Pour éviter les inondations, nous avons prévu d’installer deux systèmes de filtration, un 1er à grosses mailles pour récupérer les plus gros déchets et un second fait d’une plaque en aluminium percée de trous de 1 mm pour récupérer les plus petits déchets. Pour l’instant, ceci n’est qu’une maquette mais nous espérons pouvoir réaliser un prototype d’ici la fin de l’année scolaire et ensuite équiper les bouches d’égout de la cour du collège avec ce système de rétention des déchets.
Nous sommes en 6e3 au collège Penn Ar C’hleuz à Brest. Nous avons imaginé un jeu de société qu’on a appelé « Plastic Pursuit ». L’objectif de ce jeu est de permettre aux collégiens de mieux connaître la pollution plastique tout en s’amusant. Les règles du jeu « Plastic Pursuit » sont les mêmes que celles du “Trivial Pursuit”. Le croquis du plateau a été réalisé en mathématiques et mis en couleur en arts plastiques. Les pions et les camemberts ont été réalisés en technologie. Les questions ont été rédigées avec l’aide de plusieurs professeurs. Il y a 4 thèmes de questions :
– Jaune : Anglais,
– Bleu : Mathématiques,
– Vert : Sciences,
– Rose : Histoire/géographie – EMC.
Classe de CM2A de l’école élémentaire Jules Ferry à Clermont-Ferrand
Avec la Course Bleue, nous avons découvert que les déchets jetés dans notre village pouvaient arriver dans l’océan à cause des vents et des courants marins. Nous avons eu l’impression qu’à moins d’éliminer entièrement les plastiques, il était donc impossible d’éviter qu’ils arrivent dans l’océan. Pour les éliminer, nous avons pensé qu’il fallait pouvoir réutiliser immédiatement les plastiques pour réduire les risques de pollution. En parallèle, en géographie, nous avons étudié la production et l’utilisation responsable de l’énergie. Nous avons appris que l’énergie thermique pouvait permettre de produire de l’électricité. Nous avons donc pensé qu’il serait intéressant d’utiliser l’énergie thermique résultant du recyclage pour produire de l’électricité. Les déchets plastiques pourraient alors être transformés en contenants plastiques réutilisables pour éviter d’avoir à nouveau des plastiques polluants. Des bornes installées proches de magasins de vrac permettraient alors de recharger des véhicules électriques. Le problème qui s’est posé est de savoir comment feraient les personnes qui n’ont pas de déchets à jeter, de contenants à récupérer ou de véhicule à recharger. Nous avons alors pensé à l’éco-solidarité : une personne qui n’a pas de déchet pourrait utiliser l’électricité produite par une autre personne qui n’en a pas eu besoin par exemple. Nous avons pensé que le fait de ne pas passer par des grandes centrales électriques ou des grands centres de recyclage permet de réduire les risques de pollution et d’encourager la solidarité avec les gens de notre entourage. Pour vous présenter notre idée, nous avons réalisé une vidéo montrant plusieurs scènes de ce monde tout droit sorti de notre imagination. Nous espérons que vous aimerez notre idée autant que nous avons aimé travailler sur la Course Bleue cette année.
Classe de CM2B de l’école élémentaire Jules Ferry à Clermont-Ferrand
Notre objectif est de sensibiliser le plus de monde possible sur les déchets plastiques et notamment sur les sacs plastiques qui sont toujours très utilisés. Alors nous avons eu l’idée de réaliser des bracelets recyclés.
Par la même occasion, ces bracelets, seront un souvenir de notre voyage en classe de mer et de notre dernière année avant le collège. Pour fabriquer les bracelets, nous avons réalisé un tutoriel affiché dans les couloirs de l’école, pour expliquer comment les réaliser.
Nous partons cette année en classe de mer aux sables d’Olonne avec les CM1 et CM2 de l’école. En lien avec ce futur voyage, nous avons travaillé autour de la route du Rhum, des espèces marines, des effets du plastique dans les océans. Nous avons imaginé un bateau capable de récupérer les déchets marins, directement en mer tout en se déplaçant de manière autonome. Notre bateau est alimenté par des panneaux solaires. Il a des tapis roulants permettant de récupérer les déchets en pleine eau et de les stocker dans des containers. Les containers sont fixés au bateau et sont placés sur des bidons recyclés pour qu’ils puissent flotter et rester à la surface. Pour récupérer les déchets en profondeur, le bateau est équipé de pinces sous la coque.
Notre objectif est de participer à la végétalisation de notre cour d’école et de pouvoir proposer un tutoriel pour expliquer les étapes de notre réalisation. Plusieurs de nos idées évoquaient le détournement d’objets. Nous nous sommes mis d’accord sur l’utilisation de bouteilles « pots de fleurs » que nous pourrons installer dans la cour de l’école. Le tutoriel permettra aux autres classes de pouvoir nous aider. Nous l’avons affiché dans notre couloir.
Notre objectif est de sensibiliser le plus de monde possible sur les déchets plastiques et notamment sur les sacs plastiques qui sont toujours très utilisés. Alors nous avons eu l’idée de réaliser des bracelets recyclés.
Par la même occasion, ces bracelets, seront un souvenir de notre voyage en classe de mer et de notre dernière année avant le collège. Pour fabriquer les bracelets, nous avons réalisé un tutoriel affiché dans les couloirs de l’école, pour expliquer comment les réaliser.