Résultats du jeu concours – L’Innovation Bleue

A l’école on apprend que la nature est fragile et que le plastique pollue, mais nous en utilisons énormément : bâtons de colle, stylos, feutres d’ardoise, cahiers aux couvertures plastiques… Il est temps d’en prendre conscience et de proposer d’autres objets en matière biodégradable. Nous aimerions pouvoir porter ce message dans notre école, mais aussi dans toutes les écoles de France ! C’est pour cela que nous avons utilisé seulement des objets scolaires en plastique pour réaliser notre œuvre collective. Après avoir étudié 20000 Lieues sous les mers avec l’ouvrage de S. Michaka aux éditions Gallimard Jeunesse, nous avons inventé et mis dans le sous-marin des petites bêtes et des plantes marines. Notre sous-marin Nautiluschool est attaqué par une pieuvre géante toute en plastique.

Pour diminuer les déchets plastiques dans la mer, nous porterons nos actions sur terre grâce à notre robot anti-plastique. Le robot circulerait dans les rues ou sur les plages et il détecterait les déchets plastiques . Il ferait une musique et s’arrêterait devant le déchet et le mettrait ( ou quelqu’un qui se trouverait à proximité) dans la poubelle puis repartirait dans un centre de recyclage pour se vider.

Pour notre projet, nous sommes partis d’un constat dans notre quartier : trop de déchets trainent dans les rues, dans les parterres de fleurs, au pied des arbres… Nous avons voulu sensibiliser les personnes du quartier à ce sujet. Pour cela, nous avons d’abord réécris les paroles d’une chanson célèbre que nous adorons, puis nous avons imaginé un clip pour montrer la réalité dans laquelle nous vivons contre le monde tel qu’on aimerait y vivre. Notre vidéo a été diffusé auprès des familles de l’école, mais aussi dans le quartier où nous espérons sensibiliser tous nos voisins.

Une application pour le téléphone ou la tablette. Son but est de sensibiliser à la pollution plastique des océans, au ramassage de déchets et au tri sélectif.

C’est un robot baleine qui ramasse le plastique dans l’océan. On a choisi cette idée ensemble, pour que les animaux marins ne les mangent pas. La baleine prendra l’eau par la bouche, elle la filtrera dans un réservoir qui sert de sas, au niveau de son ventre. L’eau ressortira par le trou qu’elle a sur le dos, et le plastique restera dans son ventre, dans une sorte de grenier à plastique à l’arrière, jusqu’à ce que le réservoir soit plein, qu’elle rentre au port et qu’on le vide dans un conteneur pour le recycler. Il y a une trappe à l’arrière pour pouvoir vider le réservoir à plastique. Une baleine normale parcoure 20 000 km par an donc le robot baleine aussi et quand la batterie est faible ou qu’elle est pleine de microplastique ou de plastique elle revient au port le plus proche. Une baleine ramasse plusieurs tonnes de krill donc le robot baleine ramassera aussi plusieurs tonnes de plastique. Quand la batterie sera faible et qu’elle ne pourra pas revenir au port le plus proche, on pourra déclencher des bouées gonflables à distance pour qu’elle flotte, et on pourra activer un GPS pour qu’une équipe vienne changer sa batterie. Il y aura une caméra pour voir comment sa filtre le plastique. La batterie de la baleine pourra se recharger automatiquement avec la force des courants.

C’est une toile qui empêche que le plastique arrive dans les océans avec 2 piquets en métal pour tenir la toile dans les rivières. Toute notre équipe aime Spider-Man, c’est pour ça qu’on a pensé à cette idée. Quand elle sera installée dans un ruisseau dans la forêt par exemple, elle aura un radar qui appellera une équipe anti plastique pour les enlever, comme ça on crée un nouveau métier ! Dans les endroits isolés, il y aura un tapis roulant parce que si l’équipe arrive tard et le plastique tombe dans l’eau, c’est le tapis qui va le ramener directement à la poubelle installée à côté. En ville, elle aura une ouverture commandée pour que les bateaux puissent passer. A côté de la toile anti-plastique, il y aura une pince accrochée avec un câble pour que personne ne l’emporte, et une poubelle pour que les gens qui passent puissent ramasser le plastique dans l’eau et le mettre à la poubelle. Il y aura aussi un panneau où il sera écrit : Merci de ramasser le plastique de la toile et le jeter à la poubelle.

Depuis tant d’années les déchets plastiques se sont accumulés dans les océans, il est nécessaire de faire en sorte qu’ils n’y accèdent plus : Nous avons conçu le FAP, une canalisation pour plastique.

Depuis tant d’années les déchets plastiques se sont accumulés dans les océans, il est nécessaire de faire en sorte qu’ils n’y accèdent plus : Nous avons conçu : Le SOS ODP, un barrage entre les fleuves et les océans.

Nous voulons inciter les personnes, notamment les enfants, à jeter leurs déchets dans une poubelle. Cela évitera que les plastiques suivent les cours d’eau et se retrouvent dans l’océan. Nous trouvons nos poubelles pas très jolies dans la cour, nous pensons que si elles étaient embellies et amusantes , cela nous donnerait plus envie de les utiliser. “Plastique jeté, planète sauvée !”.

Il faudrait créer une invention qui diminuerait la pollution plastique. De ce fait, l’utilisation de plastique biodégradable ou du verre devrait aller dans ce sens. Nous avons pensé à une machine qui se trouverait dans les grandes surfaces. Cette machine remplirait les bouteilles de verre de la boisson de notre choix. Elle serait à ramener à chaque remplissage. Cette machine permettrait donc d’éviter l’utilisation du plastique.

Nous avons choisi d’inventer un accessoire pour améliorer les ramassages de déchets : un sac à dos ! C’est un sac à dos spécial pour le ramassage de déchets car il possède des options que nous avons inventées. C’est un sac à dos que l’on peut porter lorsque l’on fait un ramassage de déchets dans la nature. Il fait la même taille qu’un sac à dos classique. Il a des couleurs à la mode. Sa première option c’est qu’il a un tuyau aspirateur qui sort de la grande poche pour aspirer les déchets. La 2e option est le parapluie intégré : plus d’excuses pour ne pas ramasser car même quand il pleut, on peut continuer son ramassage ! Nous avons ajouté des capteurs qui détectent les gouttes de pluie et qui actionnent le parapluie. Des capteurs détectent aussi la grisaille pour allumer une lampe torche intégrée sur le sac.

La machine que nous avons imaginée est une tortue sous-marine qui aspire les déchets. Nous l’avons appelé Toraspidé. Cette tortue est autonome. Elle est équipée d’un réservoir fonctionnant avec les déchets broyés et brulés comme carburant principal.

Nous avons imaginé un magasin qui vendrait exclusivement tout type de produits en vrac. L’enseigne de ce magasin porte le nom de Super V (Super pour supermarché et V pour vrac). Les objectifs du magasin sont nombreux: faire disparaître un maximum de déchets, limiter la pollution notamment par les plastiques, protéger les océans et sa biodiversité, faire réfléchir le consommateur à sa consommation, réduire le gaspillage. Tout d’abord, nous avons réalisé des affiches publicitaires pour promouvoir notre concept de magasin tout en vrac. Puis, nous avons dessiné des prototypes de machines/distributeurs de produits en vrac (distributeur de dentifrice, distributeur de fournitures scolaires,…). Enfin, nous avons choisi une mascotte à l’effigie d’un super Héros dont le nom est Super V pour rappeler le nom de l’enseigne. Nous l’avons mis en scène dans une vidéo promotionnelle humoristique. Les 6 Diamant, Eco-citoyens engagés pour les océans !